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WPTN Paris, Made in Guest, Vincent Lahalle

La team ONPOK et son boss Guy Pariente, invite régulièrement des joueurs sur les festivals pour porter les couleurs de l’équipe et leur donner une chance de prouver leur valeur ou de confirmer leur talent déjà reconnu. Première interview de la semaine avec un de nos trois invités pour Paris, Vincent Lahalle

1 – Voici quelques semaines que nous avons eu le plaisir de t’accueillir auprès des joueurs de la team pour les WSOP-E à Berlin, que retiens-tu de cette première aventure avec l’équipe ONPOK ?

J’étais très heureux de pouvoir participer à des WSOPE, ce qui était une première pour moi, et très fier de porter les couleurs d’ONPOK. Je remercie encore Guy Pariente pour cette marque de confiance. Heureux de participer donc, mais déçu en revanche de n’avoir réussi une bonne performance. Tout n’a donc pas été parfait même si ça restera avant tout une très belle expérience.

2 – Si tu devais mettre en avant un souvenir ou une rencontre à Berlin ?

Difficile de sortir un souvenir mais j’avoue avoir souvent repensé à mon premier tournoi, le 6 max, où je me fais sortir au milieu du Day 1 par Stephen Chidwick (que je ne connaissais pas à ce moment là) avec KK sur board 4-9-9-2-K. Il avait donc les 9, dur à encaisser. Je me souviens aussi qu’à la fin du Day 1 du Monster Stack je me suis retrouvé à une table un peu folle avec le November Nine Butteroni qui prenait un temps incroyable avant chaque décision et surtout l’écossais Niall Farrell qui buvait bière sur bière tout en montant un stack impressionnant. Un regret, n’avoir pu vraiment rencontrer les joueurs de la team qui commençaient les WSOPE quand moi je les terminais.

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3 – D’ici quelques jours, tu porteras à nouveau les couleurs d’ONPOK pour le Main Event du WPTN à Paris. As-tu des objectifs précis dans cette compétition ?

Disons que mon objectif serait déjà d’être ITM, après comme tout compétiteur, j’espère aller le plus loin possible.

4 – Dans l’avenir, pour toi le poker va-t-il prendre plus d’importance dans ton emploi du temps ou tu souhaites que cela reste un moment « d’évasion » ?

Même si j’ai réalisé de bonnes choses online, j’ai fait mon premier tournoi live en début d’année à Deauville, j’ai donc conscience qu’il me faut encore beaucoup travailler. Le poker est une passion où je retrouve des sensations très proches de celles que je connais lorsque je joue aux courses de chevaux, où là en revanche j’ai de l’expérience. Les probabilités et les côtes sont très familières pour moi. Je crois qu’en matière de poker on est toujours en apprentissage, et moi je suis au début de celui-ci. Il est donc difficile de me projeter.

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